Îlede-France Yvelines Rambouillet Yvelines. Station d'épuration de Gazeran-Rambouillet : visite d'un chantier cathédrale C'est le plus gros chantier du sud-Yvelines avec un coût de 30 millions
Voyagezau cœur de la musique Baroque, pour découvrir les sonorités peu communes d'un duo de flûtes à bec, unies par un Lire la suite de ENSEMBLE MURMURE; FORUM DES ASSOCIATIONS. Samedi 27 août 2022 - 14h00. Venez rencontrer les associations bastidonnes le 27 août au gymnase du collège Simone Veil entre 14h et 17h! Lire la suite de
1Synthèse. Engagée dans le développement durable, NEVE Environnement a développé un système qui s’intègre dans notre concept « REUSE ». Il s’agit d’un système d’irrigation des eaux traitées issues d’une microstation d’épuration, de la manière suivante : Il n’est pas toujours aisé ou économique d’évacuer les eaux
REPORTAGE- Dans un paysage de carte postale, Suez produit du gaz à partir de boues de station d’épuration pour 2500 foyers de Marseille.
Optimisationdes stations d’épuration sur la base de mesures en ligne : la régulation en continu Marie INIZAN, Optimisation des procédés, HACHLANGE France MOSAIQUE : Développement d’un modèle de gestion intégrée réseau et station de traitement pour l’optimisation des performances du système d’assainissement par
EnÎle-de-France. Il y a environ 530 stations d'épuration pour une population de 11,6 millions d’habitants : Paris (0 station d'épuration), Hauts-de-Seine (1), Seine-Saint-Denis (2), Val-de-Marne (1), Seine-et-Marne (284), Yvelines (140), Essonne (60), Val-d’Oise (42). Toutefois, les trois quarts des eaux usées urbaines produites sont éliminées par les cinq usines du SIAAP, ce qui
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L’île de Batz assiste, chaque année, à une arrivée massive de touristes. Chaque jour, ils sont des milliers à arpenter les chemins et ruelles de l’île du Léon. Entre les îliens permanents, ceux qui jouissent d’une maison secondaire ou ceux qui, simplement, empruntent les navettes par bateau pour la journée, la municipalité doit s’adapter pour gérer ce flux de personnes. Ici, il y a trois saisons, explique le maire de l’île de Batz, Éric Grall. En hiver, 450 personnes résident sur l’île. Vient ensuite, à la mi-saison, une première vague de résidents secondaires qui fait passer l’île à 700 habitants. Enfin, en été, selon notre station d’épuration, on comptabilise 1 750 personnes environ qui dorment sur l’île ». La situation peut parfois tourner au sécheresse pas si contraignanteCet été, la sécheresse a frappé toute la Bretagne. Batz n’a pas été épargnée mais il n’y a pas eu de pénurie d’eau. En raison de sa proximité avec le continent, le petit havre de paix peut être raccordé au réseau d’eau potable roscovite via deux conduites sous-marines. La consommation d’eau reste raisonnable. Ici, les gens font attention à l’eau donc on n’a pas eu de soucis. Sur certains points, ça a même été bénéfique. Nos agriculteurs ont pu curer leurs mares asséchées, ce qui a permis de dégager les sources qui étaient bouchées et de pouvoir à nouveau avoir de l’eau ».Les mares des agriculteurs, une fois curées, se sont remplies. Ce qui a permis une irrigation, a minima, des cultures. Photo Corentin BonizecÀ l’île de Batz, on a toutes les restrictions possibles, la loi Littoral et les zones de monuments nouvelle station d’épuration en 2024En revanche, pour le traitement des eaux usées, tout se fait sur place. Plus aux normes ni adaptée à la capacité d’accueil de l’île, la station d’épuration doit être remplacée. Un projet est en cours. L’objectif est d’avoir une station capable de traiter pour un équivalent habitants de 1 950 personnes ». Néanmoins, le projet ne devrait aboutir que fin 2024. La station d’épuration étant située à proximité du phare, monument classé, une consultation préalable de l’architecte des Bâtiments de France ABF est nécessaire. À l’île de Batz, on a toutes les restrictions possibles, la loi Littoral et les zones de monuments classés », ironise Éric phare de l’île de Batz est classé aux monuments historiques. Tout travaux, dans un périmètre de 500 m, est soumis à l’approbation de l’ABF. Photo Corentin BonizecUne masse de déchets conséquenteDu côté de la déchèterie, même son de cloche. Un projet de rénovation est en cours. Mené par Haut-Léon communauté, il doit remettre aux normes les infrastructures qui accueillent tous les déchets de l’île avant qu’ils ne soient ramenés sur le continent par la barge. La collecte a lieu une fois par semaine et plusieurs allers-retours sont ensuite nécessaires pour le transport vers Roscoff. Cette année, la municipalité a insisté pour que l’accent soit mis sur la propreté. Les personnes chargées du ramassage des déchets ont été briefées pour ne pas seulement collecter les poubelles mais aussi, quand c’est nécessaire, tout ce qu’il y a autour. Ce n’était pas forcément le cas les années précédentes », précise le déchèterie de l’Île de Batz centralise les collectes et les bacs sont bien remplis. Photo Corentin BonizecPour que tout ne déborde pas, Éric Grall ne s’interdit pas d’imiter l’île de Bréhat en demandant aux touristes de ramener leurs déchets sur le continent. Ce n’est pas stupide comme décision, mais il faudrait en discuter avec Roscoff pour que tout soit mis en œuvre de leur côté », jour, une maison de 65 m2 est partie pour 360 000 € aux enchères. Il n’y a plus rien sur l’île pour moins de 300 000 €.De moins en moins d’habitants à l’annéeAutre phénomène qui touche l’île de 15 km2, la commune est très prisée des acquéreurs immobiliers. Aujourd’hui, on a deux tiers de résidences secondaires pour un tiers de résidences principales », constate le maire. Problème, la pression immobilière est telle qu’il est impossible pour des primo-accédants d’y acquérir un bien et ainsi faire vivre l’activité économique. On a plus de monde qui arrive, le plus souvent des retraités et moins de zones urbanisables. L’autre jour, une maison de 65 m2 est partie pour 360 000 € aux enchères. Il n’y a plus rien pour moins de 300 000 € », déplore l’élu.
Le 24/02/2014 à 1333 MAJ à 1433- - -Savez-vous où va l'eau que vous utilisez après une bonne douche ou une bonne vaisselle? En principe, dans une station d'épuration, avant d'être rejetée dans les cours d' quelques années, les normes environnementales sont de plus en plus strictes, et cela vaut pour le traitement des eaux. En Seine-St-Denis, l'usine de Seine-Morée, fraîchement inaugurée, est la première totalement "bio-performante". Elle traite les eaux de six quelques années, la donne a changé. A l'origine, le traitement des eaux usées d'Ile-de-France n'était réalisé que dans une seule usine d'épuration, celle d'Achères, dans les Yvelines. Un mastodonte, la deuxième plus grande usine du monde pour le traitement des eaux. Face à l'urbanisation galopante et aux contraintes de qualité de plus en plus importantes, il est vite devenu nécessaire de construire d'autres autres ont ainsi vu le jour le long de la Seine et de la Marne. La petite dernière, celle de Seine-Morée, est unique en son genre. Elle se fond dans le décor un bâtiment compact, des toitures végétalisées, une énergie fatale intelligemment récupérée, des panneaux solaires qui alimentent une petite partie du site. Cette "usine-paysage", comme on la surnomme, répond aux critères environnementaux de la construction. Elle joue par ailleurs un rôle crucial pour son environnement car elle redonne vie à la Morée, un petit cours d'eau qui avait servi d'égout pendant deux siècles. En recevant les eaux dépolluées de l'usine, il favorisera la millions d'eurosMais une telle réalisation ne coule pas de source. C'est l'eau la plus pure qui soit qui doit être rejetée dans ce ruisseau. Rien de commun avec le débit de la Seine. C'est pourquoi le site a été équipé des technologies les plus pointues et notamment de fines membranes qui ne laissent rien passer, en fin de cycle de final, 99% des matières en suspension, 95% des pollutions carbonées, 97% des pollutions phosphorées et 70% des pollutions azotées sont éliminées. L'eau qui en ressort est de qualité "eau de baignade". Sans parler des mauvaises odeurs qui sont chassées. Les boues issues de l'épuration seront traitées avec les biodéchets dans une usine de méthanisation élaborée en partenariat avec le Syctom. Il aura fallu 7 ans et 230 millions d'euros d'investissement pour faire aboutir le des sitesLa réglementation très stricte oblige les professionnels à agir. La directive cadre sur l’eau DCE du 22 décembre 2000, demande aux États membres, à échéance de 2015, le retour du bon état chimique et écologique des eaux superficielles et souterraines la non-détérioration de l’existant ainsi que la suppression des rejets de substances dangereuses dites "prioritaires" d’ici à le même temps, les eaux arrivant dans les stations d’épuration sont de plus en plus polluées. Ces pollutions, notamment chimiques, sont les nouveaux défis auxquels les services d’assainissement sont confrontés. C'est pourquoi le SIAAP, le Syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne, qui traite l'eau de près de 9 millions de Franciliens, a engagé d'importants un milliard d'euros qui a été investi dans la refonte de Seine-Aval à Achères. Le circuit de traitement des eaux sera notamment réorganisé, avec un recours à la technologie de dépollution par système membranaire comme à l'usine Seine-Morée. Elle n'a jamais été utilisée à une telle échelle.
Il est fini le temps des vieilles stations d’épuration disgracieuses et odorantes. Aujourd’hui on construit des stations élégantes et avec une vraie prise de conscience écologique. A Boulazac la station d’épuration construite en 2015 se sert des plantes pour dépolluer nos eaux usées. Et tout le monde y gagne. François Collevati est directeur des opérations Territoire Dordogne Limousin et il sait que cette station Organica n’est que le début. "C’est un premier concept avec une prise de conscience globale de l’écologie, mais on va encore plus loin puisqu’on travaille aujourd’hui sur des stations auto-suffisantes en énergie, on travaille sur les nouveaux usages de l’eau, sur les nouvelles pollutions qui sont induites avec les micro plastiques, les résidus médicamenteux, ça c’est l’avenir des nouvelles stations d’épuration." François Collevati sait qu'on peut aller encore plus loin dans la prise de conscience écolgique sur les stations d'épuration. © Radio France - Vanessa Lambert Et on ne construit pas ces stations par hasard ; Il y a une vraie conscience écologique de la part des élus comme le confirme François Collevati "C’est une vision globale locale de l’écologie et c’est un vrai partenariat avec les collectivités qui nous font confiance et avec qui on travaille. Ce sont elles qui investissent donc c’est elles qui doivent être convaincues. Nous, notre rôle c’est de les convaincre justement et de leur proposer des solutions, c’est ce qu’on fait chez Véolia." Des stations d’épuration avec moins de production de boues, moins de produits chimiques, et forcement une note réduite à la fin. "C’est du gagnant-gagnant, les innovations ont du sens pour réduire la pollution mais ça a du sens que si c’est économiquement viable. C’est tout l’enjeu de la transformation écologique, il faut allier l’aspect environnemental et économique." François Collevati,directeur des opérations Territoire Dordogne Limousin nous explique qu'en période Covid, la station d'épuration de Boulazac est toujours en activité.
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